Audio On Line - H-Fi de Prestige (JM Reynaud Atoll Electronique B&W Elipson)

Enceintes JM Reynaud Barcarolle

 

Date de sortie : 1971

Cette fiche provient de documents qui m'ont été transmis par de nombreux internautes, par l'auditorium Enceintes et Musiques (78) et Martin Image et Son (14).

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Prix indicatif : 960 F

Type : bibliothèque
3 voies 2 haut-parleurs

Présentation

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Galerie photo

Jean-Marie Reynaud Barcarolle

Banc d'essai paru dansle magazine SON MAGAZINE en mars 1971

Reynaud, infiniment de présence

Française, la Reynaud BARCAROLLE admet une puissance de 40W pour une impédance de 8 ohms. Son rapport qualité/prix est très bon.

Faite avec beaucoup de soin, cette enceinte présente une finition irréprochable. Comparée aux autres, c'est celle qui possède le plus de caractère : restitution la plus ample, la plus profonde, la plus présente. Peut-être cette profondeur est-elle parfois un peu trop importante. La BARCAROLLE "sort" largement les graves, un peu au détriment des aigus. Ses caractéristiques lui permettent de rendre particulièrement bien l'impression d'espace que l'on ressent par exemple à l'écoute de choeurs dans une église. A puissance élevée, elle introduit parfois une légère confusion dans les reproductions d'orchestre aux participants nombreux. (R. Bellone)

Sa présentation et sa finition soignées sont peu habituelles chez les constructeurs français. Son rendement élevé permet une adaptation facile. Et sa restitution est très fidèle même si son médium, un peu "gros", a parfois tendance à la disproportionner. (J. Cordier)

La BARCAROLLE captivera l'amateur par la très grande présence qu'elle donne au son. Beaucoup y trouveront une qualité éminente, notamment ceux qui aiment les voix en gros plan (Mahler, Schubert), concertos avec soliste très détaché (Brahms, Saint Saëns). Dans le cas d'une masse orchestrale et vocale considérable (Requiem de Berlioz), ce tassement en premier plan retire un peu de netteté à la définition dans l'espace mais l'effet reste spectaculaire. Dans l'ensemble, il ne vaut mieux pas soumettre cette enceinte à des enregistrements offrant une trop grande amplitude dynamique car le côté sauré des nuances "pianissimo" mène, évidemment, à une certaine confusion si on si l'on passe à "fortissimo". Cela suppose donc des réglages attentifs (ou un choix très adapté de l'ampli ou du disque), car les résultats obtenus avec les Concertos pour petit orgue de C.P.E. Bach étaient parfaits, ainsi qu'avec les disques de jazz (Gil Evans). (M. Marnat)

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